Une IRM de prostate sera prescrite par votre urologue (le cas échéant votre médecin traitant) dans les indications suivantes
L’IRM de prostate se déroule de la même façon que tout autre type d’IRM.
Vous serez couché sur le dos. L’antenne sera positionnée à votre contact et la table sera ensuite déplacée à l’intérieur de l’appareil d’IRM.
Dans tous les cas, un produit de contraste est utilisé lors de l’IRM de prostate pour améliorer l’étude et la compréhension des images.
L’examen dure environ 10 minutes.
Un lavement vous sera prescrit lors de la prise de rendez-vous.
Il est à réaliser 3 heures avant l’examen.
Il n’est pas nécessaire d’être à jeûn pour cet examen. N’interrompez pas vos médicaments. En revanche, il est conseillé que le repas précédent l’examen soit un repas léger.
Pour le jour de l’examen, apportez votre dossier médical : ordonnance médical ou lettre, prise de sang récente et imageries antérieures.
A l’arrivée, vous devrez remplir un questionnaire comme pour toute IRM et de signaler toute information médicale qui vous semblerait importante.
Il vous sera ensuite demandé de passer aux toilettes et de vider la vessie.
Pas de contre-indication spécifique à l’IRM prostatique.
Aucun risque, aucune douleur, aucun effet secondaire spécifique de l’IRM prostatique.
Un premier commentaire vous sera donné juste après l’examen.
Il ne s’agira là que d’une première approche, car les images doivent être ensuite analysées sur un ordinateur par le médecin radiologue.
Le compte-rendu écrit sera disponible dans les meilleurs délais, en général le jour même, accompagné d’une planche résumée, des images de l’examen et d’un CD-Rom à transmettre à votre urologue ou au médecin prescripteur
Vous pourrez également récupérer vos planches résumées et votre compte rendu en ligne en cliquant sur l’icône RESULTATS ci-dessous ou via notre page d’accueil, au moyen de votre identifiant (accessible sur le livret d’imagerie ou à la demande au secrétariat) et de votre date de naissance.
Tous les examens et les résultats sont archivés, afin d’assurer un suivi et une analyse comparative. Les pathologies carcinologiques pourront ainsi bénéficier d’un suivi optimal.